B. − P. anal. ou au fig.
1. Personne forte et résistante; personne qui ne manifeste pas de sensibilité.
- Vous êtes un roc! me dit-elle; vous n'êtes pas capable de la plus petite concession pour rester près de moi et me donner du courage! (Sand, Mllede La Quintinie, 1863, p. 145)
3. Roc de/des + subst.[Souligne ce qu'il y a de solide, d'inébranlable dans le subst.]
- Il y avait une distance que ces messieurs avaient tort d'oublier, entre l'extrême portée de leurs sondages et le roc des faits (Malègue, Augustin, t. 2, 1933, p. 27).
- En 1788, Kant réédifia effectivement la métaphysique sur le roc de la conscience morale (Lefebvre, Révol. fr., 1963, p. 72).
- Il faut créer une opposition sur le roc des idées et non sur la poussière des intérêts et des personnalités (Lamart., Corresp., 1836, p. 235).
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