3. [Dans un cont. nég.]
a) Ne ... (pas/plus) ... trop ... + verbe. Pas très bien.
- Je ne sais plus trop ce que j'imaginais au delà des bois (Gide, Si le grain, 1924, p. 395).
- Henriette faisait le modèle, des ménages, couchait chez l'un et chez l'autre, et devint, on ne sait trop comment, une des attractions de Montparnasse (Triolet, Prem. accroc, 1945, p. 101).
- Ah, monsieur, ce n'est pas trop tôt! (Vercel, Cap. Conan, 1934, p. 129).
- Sous des conditions qui ne soient point trop étrangères à la réalité (Perroux, Écon. XXe s., 1964, p. 151).
- Hélas! je ne le sais que trop (Ménard, Rêv. païen, 1876, p. 175).
- − (...) Je parle en homme, humainement. − Je ne le sens que trop! (Bernanos, Joie, 1929, p. 698):
- 1. Il n'est que trop vrai, monsieur, la conduite de la personne au sujet de laquelle vous me demandez toute la vérité a pu sembler inexplicable ou même honnête. (Stendhal, Rouge et Noir, 1830, p. 448.)
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