2017년 9월 23일 토요일

Dic/ école au figuré


D. Au fig.
1. école est éventuellement suivi d'un comp. ou d'un déterminant subjectifs. Enseignement ou formation reçus au contact d'une réalité, dispensés par une personne.

  • Rien ne vaut la rue pour faire comprendre à un enfant la machine sociale. (...) L'école en plein vent m'enseigna de haute sciences.
  • Je ne sais plus à quel propos, je lui dis que le péché donne une expérience de la vie dont il y a un profit énorme à tirer, un profit spirituel; que le péché instruit l'individu, est une sorte d'école où il apprend à connaître l'humanité.
2. école est éventuellement suivi d'un compl. ou d'un déterminant objectifs. Ce qui apporte la connaissance ou l'expérience de quelque chose.
  • l'école de mensonge.
  • tenir école de mauvaises moeurs, de mauvais goût.
  • Les prairies seront votre école, les fleurs vos alphabets et Flore votre institutrice.
  • Paradoxes qui montaient dans le ciel aussi haut que la tour de Babel pour la confusion de l'école du bon sens.
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cas d'école : textbook case(s).
cas d'école : exemple type.

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Il[école] se dit souvent au figuré, tant en bonne qu'en mauvaise part, de Ce qui est propre à former, à donner de l'expérience en quelque chose, à instruire.
  • Souvent on devient sage à l'école du malheur, de l'expérience.
  • Il s'était formé à l'école des plus grands généraux.
  • Il y a deux pièces de Molière intitulées, l'une "l'école des femmes", et l'autre "l'école des maris".
  • Tenir école de mauvaises moeurs, de mauvais goût.
  • Il faut aller à votre école pour apprendre cela. Il n'y a que vous qui puissiez enseigner cela.
  • Faire une école. Faire une faute, une sauttise par ignorance, par méprise, par étourderie.
 Le Petit Robert; Dictionnaire de l'Académie française

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