II. − Qqc. tente qqn
A. − Éveiller le désir, l'envie de.
- Les richesses(ou le luxe, l'ambition, l'aventure, les voyages, le théâtre, cette profession, ce bijou, cette maison, cette voiture, ce vêtement) me tentent.
- Plutôt que de conserver d'importantes liquidités qui pourraient tenter les malfaiteurs, les banques préfèrent demeurer largement créditrices auprès de cette institution (Baudhuin, Crédit et banque, 1945, p. 170):
- Se laisser tenter par + subst. Ne pas trop se laisser tenter par les modèles spéciaux [de lessiveuse] (...) car tout cela est inutilement compliqué et cher (Lar. mén. 1926, p. 193).
- Se laisser tenter à + inf. (vieilli). Il ne me souciait pas de rester à Marseille ou à Lyon. Je me suis laissé tenter à rentrer dans cette Italie qui est à un jour d'ici (Ampère, Corresp., 1834, p. 66).
- Je n'ai trouvé qu'au prix de toutes les offres qui peuvent tenter l'avarice, quelques hommes, quelques prêtres, qui voulussent accompagner ce convoi (Latouche, L'Héritier, Lettres amans, 1821, p. 109).
- La possession d'un or superflu ne tente pas mon ambition (Nodier, Fée Miettes, 1831, p. 154).
댓글 없음:
댓글 쓰기