Texte:
- Le marchand ne se spécialise pas parce qu'aucune branche à sa portée n'est pas suffisamment nourrie pour absorber toute son activité.
- Une seul spécialisation a eu, parfois, tendance à se manifester dans la vie économique: le commerce de l'argent. Mais, son succès n'a jamais été de longue durée, comme si l'édifice économique ne pouvait nourrir cette pointe haute de l'économie.
A.2. Qqn/qqc. nourrit qqn/un animal. Donner à manger à une personne, un animal.
− Qqn nourrit qqn.
- Nous étions mal habillés et mal nourris, souvent nos souliers étaient percés, nos pantalons déchirés et rapiécés et notre linge sale (Karr, Sous tilleuls, 1832, p.270).
- Le curé ne s'était nullement refusé à recevoir et à nourrir les soldats prussiens (Maupass., Contes et nouv., t.2, Mlle Fifi, 1881, p.159):
[En parlant d'une pers.; correspond à nourrir A 2] Qui est replet, qui a de l'embonpoint(통통하고 포동포동한).
- J'aime les femmes nourries. Plus elles sont en chair, plus je les préfère (Maupass., Contes et nouv., t.1, Nuit de Noël, 1882, p.863).
1. Qqn/qqc. nourrit qqc. Développer quelque chose en lui fournissant les ressources nécessaires. Nourrir la fièvre, la guerre.
- Cet événement artistique considérable [la venue à Paris du «Schillertheater» de Berlin] contribuera largement à nourrir les relations de culture entre la France et l'Allemagne (L'OEuvre, 12févr. 1941).
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