2010년 6월 8일 화요일

exercice


1.
Pire, la fragmentation du réseau ayant accompagné la privatisation des chemins de fer anglais a contribué à dégrader, s'il était encore possible, le service rendu à l'usager en entraînant des situation ubuesques dès lors que le trajet nécessite des correspodances entre plusieurs opérateurs.

2.
(Celle-ci), en cessation de paiements, a été placée sous administration judiciaire le 7 octobre 2001. Elle a été réintegrée dans le giron public en octobre 2002. La nouvelle entité publique a pour mission d'éponger la dette de la compagnie. au moyen de nouveaux emprunts ou par des financements publics, et de reprendre l'entretien de 37000 kilomètres de voie férrees laissées dans un état de quasi-abandon.

3.
Opérateur du réseau ferroviaire anglais n'a pas pu concilier les exigences de rentabilité des marches financiers avec les investissements indispensables à l'entretien et au développement de l'infrastructure de base. It apparaît donc clairement que celles-ci ne peuvent être gérees efficacement, surtout à long terme, si elles sont abandonnées au marché.

4.
(La société) est aujourd'hui en cessation de paiements. Depuis le 9 septembre 2002, si la société poursuit son activité, c'est uniquement grâce à des fonds d'urgence débloqués par le gouvernement britannique. L'effondrement de la société peut s'expliquer par son échec dans ses projets de rachat de distributeurs d'électricité. Le but de ces rachats était de lui permettre d'écouler sa production sans passer par le marche, décidément peu goûté par entreprises dans la réalité.

5.
Pour financer leurs investissements, les entreprises émettent des actions, qu'elles vendent sur le marché--on parle alors d'augmentation de capital(puisque les actions forment le capital de l'entreprise) Pour les acquéreurs des actions nouvellement émises, l'intérêt est de posséder une partie du capital de l'entreprise. Mais si l'Etat fait partie de ces acheteurs, alors cet achat d'actions sera considéré par la Commission eurpéenne comme une aide publique déguisée, discriminatoire et anticoncurrentielle.

6.
taux d'intérêt mondres

7.
Tout ce discours passe sous silence la complexité et l'ambiguïté redoutables de la notion de concurrence. Qu'il s'agisse de la concurrence "pure et parfaite" du discours savant ou de la concurrence "toute simple" du discours profane, dans les deux cas on ignore ou feint d'ignorer qu'il n'y a pas de concurrence sans réglementation. On souligne trop rarement que la théorie économique standard suppose une hypercentralisation des décisions, plus proche de la planification soviétique que d'une économie de marché décentralisée. Alors, pourtant, que cette théorie est la référence implicite de la plupart des discours libéraux vantant la libre concurrence et la déréglementation !


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