I. A. − [Jusqu'au xixe s.]
1. Cavalier ou combattant à pied placé en sentinelle pour observer et signaler les mouvements de l'ennemi.{보초, 초병}
II. A. − 1. Loc. adv. ou adj. En vedette
a) [En parlant d'un texte](Qui se détache du texte auquel il se rattache) souvent sur une seule ligne et en gros caractères.
- Les journaux américains se signalent par un goût prononcé du sensationnel. Scrupuleux quant à l'indication de leurs sources, beaucoup n'éprouvent aucun embarras à démentir le lendemain une nouvelle sensationnelle qu'ils publiaient la veille en vedette, sans prendre le temps de la confirmer (Civilis. écr., 1939, p. 40-3).
- S'il écrivait à quelqu'un de ces messieurs [des fournisseurs] (...) il observait les formules les plus polies, mettait Monsieur en vedette (Balzac, Employés, 1837, p. 112).
- On nomme: (...) italique, le caractère penché utilisé pour la composition de certaines parties (préface, par exemple) ou pour mettre en vedette (souligner) des mots, des phrases ou des textes (Gouriou, Mémento typogr., 1961, p. 5).
- Mes yeux s'arrêtèrent sur une lettre placée en vedette sur le marbre de la cheminée (...) et je reconnus l'écriture de Cécile (Feuillet, Journal femme, 1878, p. 312).
- Le renom des acteurs mis en vedette contribuant à la réussite commerciale du film, il arrive qu'un acteur ne soit pas choisi pour un rôle donné mais bien pour qu'un rôle soit confectionné à son usage (Cohen-Séat, Vocab. filmologie, 1946, p. 211).
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